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Visite guidée

VISITE GUIDÉE EN FRANÇAIS de la RÉSERVE NAVALE NCSM DISCOVERY au PARC STANLEY, à VANCOUVER

Le dimanche, 9 juillet 2023, 10h-midi

Le dimanche 9 juillet, en partenariat avec le musée de NCSM Discovery, la Société historique offre, en première, une visite en français des immeubles et du musée de la réserve navale NCSM Discovery, située sur Deadman’s Island dans le parc Stanley.

L’île fut d’abord le cimetière des Premières Nations locales pendant des millénaires, avant de devenir cette réserve militaire en 1914. Elle n’est ouverte au public que pendant une seule fin de semaine par année. C’est donc un honneur pour nous que deux des bénévoles du musée, Jocelyne et Yves Lapointe (sœur et frère) vont nous guider dans une visite des immeubles du site ainsi que du musée de la Réserve.

Coût :

Pour les membres de la SHFCB : 15 $

Pour les non-membres de la SHFCB : 25 $ (ce qui vous donne une adhésion d’un an à la SHFCB)

Veuillez réserver votre place avant le 21 juin par courriel à direction@shfcb.ca.

Vous pouvez payer par virement automatique à tresorerie@shfcb.ca,

ou par chèque libellé à « SHFCB » reçu avant le 1er juillet à :

SHFCB, 228F-1555 7e av. O., Vancouver CB V6J1S1.

N.B. Si vous payez par chèque par la poste, vous devez envoyer un courriel à cet effet au contact ci-dessous avant le 21 juin afin de pouvoir intégrer le site le jour de la visite.

CONTACT : MAURICE GUIBORD 604-771-3047 direction@shfcb.ca

AU PLAISIR DE VOUS Y VOIR!

https://www.canada.ca/fr/marine/services/histoire/historiques-navires/discovery.html

 

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VISITE GUIDÉE avec l’ALLIANCE FRANÇAISE DE VANCOUVER

 

 

 

 

VISITE GUIDÉE – L’Ancien village francophone de Vancouver

Le samedi 13 mai, 10h à midi

Prix : 10$ pour membres de la SHFCB ou de l’AFV; 15$ pour non-membres

Pour billets : VISITE GUIDÉE EN FRANÇAIS | Le village francophone de Vancouver (alliancefrancaise.ca)

La SHFCB reprend ses activités en présentiel avec cette visite guidée en français, offerte conjointement avec l’Alliance française de Vancouver. Cette visite sera présentée par Maurice Guibord, historien et D.G. de la Société historique francophone de la C.-B

Des années 1940 aux années 1970, plus de 1,500 Canadiens français s’installèrent alentour de l’église et de l’école francophones Saint-Sacrement, rue Willow près de la 16e avenue. La communauté s’étendait des rues Main à Oak et de Broadway à la 20eavenue. Le long de la 16e avenue, plusieurs services et commerces francophones étaient aussi voisins du Centre culturel francophone, d’où la troupe théâtrale qui porte toujours le nom de cette avenue. Après le déménagement du Centre vers la nouvelle Maison de la francophonie sur la 7e avenue, les commerces et puis la communauté se sont dispersés dans le Grand Vancouver.

Nous marcherons de la rue Main jusqu’à la rue Laurel, soit un parcours de 1,7 km. Nous verrons les vestiges et sites des immeubles clés de la communauté et nous visiterons aussi l’église Saint-Sacrement, son point de rassemblement originel. AU PLAISIR DE VOUS Y VOIR !

PHOTOS:

Fils de la famille Granger devant l’Épicerie Granger, coin Willow et 16e avenue, 1917 (SHFCB) 

… et le guide Maurice Guibord

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JANE’S WALK SHFCB WALKING TOUR… in English

 

FREE GUIDED TOUR – Vancouver’s FRANCOPHONE VILLAGE

Friday, May 5, 10 A.M.-NOON

Price: FREE to all

To register: https://www.eventbrite.ca/e/vancouvers-francophone-village-tickets-618205889457?aff=ebdsoporgprofile

The Société historique francophone de la Colombie-Britannique gets back to in-person events with this first partnership with Jane’s Walk. This tour will be offered by Maurice Guibord, historian and E.D. of the SHFCB

From the 1940s to 70s, over 1500 French-Canadians lived in the vicinity of the Francophone Saint-Sacrement church and school, both on Willow St. just south of 16th Ave. The community extended from Main to Oak streets and from Broadway to 20th Avenue. Along 16th Ave., Francophone services and businesses were established beside the Centre culturel francophone. After this community centre moved to W. 7th Ave. in the late 1970s, the businesses and then the residents spread out throughout the Lower Mainland.

We will walk from Main St. to Laurel St., so about 1.7 km. We will see the sites and buildings tied to this community and we will also visit Saint-Sacrement church, its original focal point.

HOPE TO SEE YOU THERE!

PHOTOS:

A son of the Granger family in front of Épicerie Granger Grocery, at Willow & 16th, 1917 (SHFCB),

And tour guide Maurice Guibord

 

 

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Le futur de l’Association historique francophone de Victoria remis en question

L’AHFV fut fondée en 1984, grâce aux efforts de Marie Robillard, Laurette Agnew, Jean-Paul Vinay, Antoinette Vaucher, entre autres. Pendant les quatre dernières décennies, Gisèle Samson, Claire Carlin, Marie-Hélène Bourret et d’autres encore en ont assuré les programmes et le traitement des collections.

Or, voilà que lors de son AGA la fin de semaine dernière, le manque de relève au sein du C.A. et l’absence quasi-totale de membres entraîna un vote de dissolution de l’AHFV, qui fut décidé avec trois votes en faveur.

L’AHFV fait face depuis plusieurs années à un problème au niveau de la relève, mais même aux avertissements successifs de la Directrice sortante, Marie-Hélène Bourret, la décision prit tout de même la francophonie par surprise. Il était déjà envisagé de prendre l’année qui vient pour effectuer le processus, mais il semble maintenant qu’une consultation auprès de la communauté aura lieu afin de déterminer si la bonne décision fut prise.

La SHFCB a toujours appuyé l’AHFV et continuera de le faire, selon le besoin. Le transfert des artéfacts de l’AHFV vers Vancouver il y a quelque trois ans fut le début d’une concertation entre les deux organismes visant le futur des archives de l’AHFV. Rien n’est décidé pour le moment, mais la SHFCB s’est portée ouverte auprès de son organisme-soeur quant à l’offre de toute aide requise.

 

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Martine Galibois-Barss nous quitte

Martine Galibois-Barss était fière du chemin parcouru par les parents francophones de la Colombie-Britannique.

Martine Galibois-Barss, une pionnière de la francophonie en C.-B., est décédée

Francis Plourde, Radio-Canada C.-B/YK

Publié le 21 mars 2023 à 17 h 37

La communauté francophone de Colombie-Britannique perd une de ses pionnières en matière d’éducation en français. Martine Galibois-Barss est décédée mardi à l’âge de 75 ans. Elle laisse dans le deuil quatre enfants et un petit-enfant.

Jeune mère de famille établie en Colombie-Britannique dans les années 1970, Martine Galibois-Barss s’était d’abord engagée pour la mise sur pied du programme d’immersion française à North Vancouver.

La Québécoise a joué un rôle de premier plan dans le lancement de la première grande poursuite scolaire dans la province en 1989, une poursuite qui a mené à la création du Conseil scolaire francophone en 1995.

À lire aussi :

Elle a été la fondatrice de l’Association des parents francophones de la Colombie-Britannique, l’ancêtre de la Fédération des parents francophones (FPFCB). Martine Galibois-Barss a été aux premières loges de la défense de l’article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés qui permet aux francophones d’être éduqués dans leur langue.

Elle a aussi été présidente de l’Association des parents du programme-cadre de français de la Colombie-Britannique de 1986 à 1996 et membre du conseil d’administration du CSF de 1996 à 2005.

En Colombie-Britannique, les réactions se multiplient depuis l’annonce de son décès.

« Ça a été un choc », a réagi la directrice de la Fédération des parents francophones de la Colombie-Britannique, Marie-Andrée Asselin. « On lui parlait de façon régulière et il n’y avait aucun signe qu’elle allait nous quitter aussi rapidement. » Marie-Andrée Asselin garde le souvenir d’une femme rassembleuse et qui ne laissait personne indifférent.

« Elle ne lâchait jamais sa cause et plaçait les enfants au milieu de ses

actions. »

— Une citation de  Marie-Andrée Asselin, directrice, FPFCB

« C’est une grande dame qui a fait tellement pour la francophonie en Colombie-Britannique », s’exclame son amie Josée Paquette, qui a été l’enseignante d’une de ses filles. « Elle a consacré sa vie à la défense du français. »

« J’ai toujours reconnu Martine comme étant la mère du Conseil scolaire francophone », témoigne quant à elle Renée Popov, qui a été présidente du CSF au tournant des années 2000.

La militante garde le souvenir d’une femme de cœur, passionnée comme elle par l’éducation en français.

« C’était une femme incroyable. Elle avait beaucoup de courage et elle a même hypothéqué sa maison à deux reprises pour les causes juridiques. Elle croyait vraiment en la cause. »

— Une citation de Renée Popov, ex-présidente du CSF

« Martine Galibois-Barss ne reculait devant rien pour la cause francophone, allant même jusqu’à suivre un ministre de l’Éducation dans les toilettes pour qu’il accepte de lui parler. Elle avait du front », se souvient Renée Popov. « C’est le genre de personne qu’elle était »

En 2019, Martine Galibois-Barss a reçu le Prix national Ghislaine-Pilon de la Commission nationale des parents francophones (CNPF). Lors d’une entrevue à Radio-Canada à cette occasion, elle racontait avec fierté avoir vu passer 25 ministres de l’Éducation durant ses années de militantisme.

 

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La SHFCB au Festival du Bois les 25-26 mars

C’est avec grand plaisir que le SHFCB tiendra à nouveau son kiosque au Festival du Bois annuel de la Société francophone de Maillardville cette fin de semaine, soit les 25-26 mars. Nous remercions la SFM de nous en offrir la possibilité.

Pour ceux/celles qui n’y ont jamais assisté, ne manquez pas cette occasion de vivre le plus grand festival folklorique francophone de la province! Nous serons dans le Grand Chapiteau, avec les marchands et sociétés qui exposent leurs produits et services, où le comptoir principal d’alimentation canadienne-française vous offrent ses délices, et où les plus importants groupes musicaux de l’année vous entrainerons sur la piste de danse. Et tiens, le bar s’y trouve aussi!

Le village métis présente un beau spectacle de musique et de danse métisse. Les Scouts francophones y seront toujours avec leurs activités pour les jeunes. Les artistes pour la jeunesse présentent aussi de beaux spectacles dans la tente réservée à ce jeune public. Plusieurs kiosques de nourriture représentant nos diverses francophonies vous offriront aussi un menu tout aussi diversifié. Sans oublier, bien sûr, les suçons à la tire d’érable.

Cette année, la SHFCB profite d’un beau don reçu cette année de la part du Carrefour 50+ de la C.-B., soit de poupées confectionnées pendant la COVID par des aîné.e.s francophones partout dans la province, dans le contexte d’une activité offerte par Carrefour 50+. La SHFCB avait été invitée à proposer aux artisan.e.s des personnages historiques francophones de la province comme modèles pour leurs créations. Vous pourrez en apprécier les superbes résultats, tout en en apprenant davantage sur votre histoire francophone.

Venez nous dire bonjour!

Pour davantage de renseignements.

 

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Un film gratuit de l’ONF…. en mars seulement

Visionnez gratuitement un superbe film de l’ONF!

L’ONF célèbre la francophonie en vous offrant le visionnement gratuit, pendant le mois de mars, du film L’Ordre secret, de Phil Comeau, qui porte sur l’Ordre de Jacques-Cartier, une vaste confrérie qui, de 1926 a 1965, a infiltré tous les secteurs de la société canadienne francophone.

Voyez le lien ci-bas pour le visionnement.

Et, question de statistiques, prière de nous signaler si vous avez choisi de profiter de cette offre à direction@shfcb.ca

Pour visionner le film: https://vimeo.com/showcase/10138037

Pour obtenir le Mot de passe, composer le 604-771-3047.

Office national du film du Canada | National Film Board of Canada
1501, de Bleury, Montréal Qc H3A 0H3
438-459-5843 | rvf@onf.ca

Voici également le MATÉRIEL PROMOTIONNEL:

 

 

 

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Postes Canada émet un nouveau timbre pour le Mois de l’histoire des Noirs au Canada

Un timbre du Mois de l’histoire des Noirs en hommage à Chloe Cooley

Bien qu’incapable d’échapper à son esclavage, Chloe Cooley a contribué par sa résistance à la mise en liberté des personnes asservies dans le Haut-Canada.

NIAGARA-ON-THE-LAKE, Ontario – Aujourd’hui, Postes Canada a dévoilé un nouveau timbre du Mois de l’histoire des Noirs en l’honneur de Chloe Cooley, qui a eu une grande incidence sur l’histoire de l’esclavage au Canada. Sa résistance le soir du 14 mars 1793 a contribué à l’adoption d’une loi qui allait mener à l’abolition graduelle de l’esclavage dans le Haut-Canada et offrir un refuge aux esclaves d’autres pays.

Chloe Cooley était une jeune femme noire asservie comme domestique à Queenston, dans le Haut-Canada, à la fin du XVIIIe siècle. Bien que l’esclavage dans le Haut-Canada gagnait en popularité à l’époque, l’attitude à l’égard de la pratique changeait et le mouvement abolitionniste prenait de l’ampleur.

Alors que commençaient à planer des rumeurs d’abolition, des maîtres craignaient de perdre ce qui était légalement considéré comme leur propriété. Le sergent Adam Vrooman, le maître de Chloe Cooley, était de ce nombre.

Un soir frisquet de mars, Adam Vrooman a enlevé la jeune femme, l’a violemment ligotée et, avec l’aide de deux hommes, l’a traînée sur les rives de la rivière Niagara. Mais Chloe Cooley s’est débattue.

Elle avait la réputation de lutter courageusement contre son esclavage de toutes les manières possibles, notamment en quittant la propriété d’Adam Vrooman sans permission et en refusant d’accomplir certaines tâches. Alors, quand son maître l’a enlevée, elle s’est débattue et a crié à l’aide pour tenter de se libérer. Ses protestations bruyantes ont été entendues dans les environs.

Malgré sa résistance, Chloe Cooley a été maîtrisée et transportée de force par bateau de l’autre côté de la rivière, dans l’État de New York, où elle a été vendue.

Bien qu’on ignore ce qui est arrivé à la jeune femme après cette soirée, des témoins ont raconté l’événement au lieutenant-gouverneur John Graves Simcoe, un fervent abolitionniste. Ce dernier s’est servi de ces témoignages pour déposer un projet de loi.

Le 9 juillet 1793, la mesure législative qui est devenue la loi visant à restreindre l’esclavage dans le Haut-Canada a été adoptée.

Si Chloe Cooley n’en a pas profité, la loi a ouvert la voie à la liberté pour d’autres en menant à l’abolition graduelle de l’esclavage dans le Haut-Canada. Elle a également créé un refuge légal pour les personnes qui fuyaient l’esclavage dans d’autres pays et a aidé au moins 30 000 Américains noirs en quête de liberté à faire le périlleux voyage vers le Canada au cours des décennies qui ont suivi.

En 1833, l’esclavage a été aboli officiellement à l’échelle de l’Empire britannique, et les derniers esclaves du Haut-Canada ont finalement été libérés.

À propos du timbre

Le timbre consacré à Chloe Cooley a été conçu par Lime Design et est orné d’une illustration de Rick Jacobsen. En l’absence de photos de la jeune femme, les images ont été créées avec soin à la suite de consultations approfondies avec des experts en histoire locale et régionale, en histoire des Noirs et en mode d’époque, ainsi qu’à l’aide de cartes historiques, de peintures, d’illustrations et d’autres documents d’archives. Imprimée par Lowe-Martin, l’émission comprend un carnet de six timbres PermanentsMC au tarif du régime intérieur et un pli Premier Jour officiel oblitéré à Niagara-on-the-Lake, en Ontario, où se trouve Queenston.

La vignette et les articles de collection sont en vente sur postescanada.ca et dans les comptoirs postaux partout au pays.

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