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"Voix de l'Ouest"

"Voix de l'Ouest" est publiée de façon trimestrielle. Ne manquez pas les nouveautés et les évènements prochains!

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Maurice Guibord SHFCB

Le message du Directeur général

La Société historique francophone de la Colombie-Britannique est une société sans but lucratif incorporée en mars 2009. Sa mission est la promotion de l’histoire des Francophones de la Colombie-Britannique.
 
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Martine Galibois-Barss nous quitte

Martine Galibois-Barss était fière du chemin parcouru par les parents francophones de la Colombie-Britannique.

Martine Galibois-Barss, une pionnière de la francophonie en C.-B., est décédée

Francis Plourde, Radio-Canada C.-B/YK

Publié le 21 mars 2023 à 17 h 37

La communauté francophone de Colombie-Britannique perd une de ses pionnières en matière d’éducation en français. Martine Galibois-Barss est décédée mardi à l’âge de 75 ans. Elle laisse dans le deuil quatre enfants et un petit-enfant.

Jeune mère de famille établie en Colombie-Britannique dans les années 1970, Martine Galibois-Barss s’était d’abord engagée pour la mise sur pied du programme d’immersion française à North Vancouver.

La Québécoise a joué un rôle de premier plan dans le lancement de la première grande poursuite scolaire dans la province en 1989, une poursuite qui a mené à la création du Conseil scolaire francophone en 1995.

À lire aussi :

Elle a été la fondatrice de l’Association des parents francophones de la Colombie-Britannique, l’ancêtre de la Fédération des parents francophones (FPFCB). Martine Galibois-Barss a été aux premières loges de la défense de l’article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés qui permet aux francophones d’être éduqués dans leur langue.

Elle a aussi été présidente de l’Association des parents du programme-cadre de français de la Colombie-Britannique de 1986 à 1996 et membre du conseil d’administration du CSF de 1996 à 2005.

En Colombie-Britannique, les réactions se multiplient depuis l’annonce de son décès.

« Ça a été un choc », a réagi la directrice de la Fédération des parents francophones de la Colombie-Britannique, Marie-Andrée Asselin. « On lui parlait de façon régulière et il n’y avait aucun signe qu’elle allait nous quitter aussi rapidement. » Marie-Andrée Asselin garde le souvenir d’une femme rassembleuse et qui ne laissait personne indifférent.

« Elle ne lâchait jamais sa cause et plaçait les enfants au milieu de ses

actions. »

— Une citation de  Marie-Andrée Asselin, directrice, FPFCB

« C’est une grande dame qui a fait tellement pour la francophonie en Colombie-Britannique », s’exclame son amie Josée Paquette, qui a été l’enseignante d’une de ses filles. « Elle a consacré sa vie à la défense du français. »

« J’ai toujours reconnu Martine comme étant la mère du Conseil scolaire francophone », témoigne quant à elle Renée Popov, qui a été présidente du CSF au tournant des années 2000.

La militante garde le souvenir d’une femme de cœur, passionnée comme elle par l’éducation en français.

« C’était une femme incroyable. Elle avait beaucoup de courage et elle a même hypothéqué sa maison à deux reprises pour les causes juridiques. Elle croyait vraiment en la cause. »

— Une citation de Renée Popov, ex-présidente du CSF

« Martine Galibois-Barss ne reculait devant rien pour la cause francophone, allant même jusqu’à suivre un ministre de l’Éducation dans les toilettes pour qu’il accepte de lui parler. Elle avait du front », se souvient Renée Popov. « C’est le genre de personne qu’elle était »

En 2019, Martine Galibois-Barss a reçu le Prix national Ghislaine-Pilon de la Commission nationale des parents francophones (CNPF). Lors d’une entrevue à Radio-Canada à cette occasion, elle racontait avec fierté avoir vu passer 25 ministres de l’Éducation durant ses années de militantisme.

 

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La SHFCB au Festival du Bois les 25-26 mars

C’est avec grand plaisir que le SHFCB tiendra à nouveau son kiosque au Festival du Bois annuel de la Société francophone de Maillardville cette fin de semaine, soit les 25-26 mars. Nous remercions la SFM de nous en offrir la possibilité.

Pour ceux/celles qui n’y ont jamais assisté, ne manquez pas cette occasion de vivre le plus grand festival folklorique francophone de la province! Nous serons dans le Grand Chapiteau, avec les marchands et sociétés qui exposent leurs produits et services, où le comptoir principal d’alimentation canadienne-française vous offrent ses délices, et où les plus importants groupes musicaux de l’année vous entrainerons sur la piste de danse. Et tiens, le bar s’y trouve aussi!

Le village métis présente un beau spectacle de musique et de danse métisse. Les Scouts francophones y seront toujours avec leurs activités pour les jeunes. Les artistes pour la jeunesse présentent aussi de beaux spectacles dans la tente réservée à ce jeune public. Plusieurs kiosques de nourriture représentant nos diverses francophonies vous offriront aussi un menu tout aussi diversifié. Sans oublier, bien sûr, les suçons à la tire d’érable.

Cette année, la SHFCB profite d’un beau don reçu cette année de la part du Carrefour 50+ de la C.-B., soit de poupées confectionnées pendant la COVID par des aîné.e.s francophones partout dans la province, dans le contexte d’une activité offerte par Carrefour 50+. La SHFCB avait été invitée à proposer aux artisan.e.s des personnages historiques francophones de la province comme modèles pour leurs créations. Vous pourrez en apprécier les superbes résultats, tout en en apprenant davantage sur votre histoire francophone.

Venez nous dire bonjour!

Pour davantage de renseignements.

 

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Un film gratuit de l’ONF…. en mars seulement

Visionnez gratuitement un superbe film de l’ONF!

L’ONF célèbre la francophonie en vous offrant le visionnement gratuit, pendant le mois de mars, du film L’Ordre secret, de Phil Comeau, qui porte sur l’Ordre de Jacques-Cartier, une vaste confrérie qui, de 1926 a 1965, a infiltré tous les secteurs de la société canadienne francophone.

Voyez le lien ci-bas pour le visionnement.

Et, question de statistiques, prière de nous signaler si vous avez choisi de profiter de cette offre à direction@shfcb.ca

Pour visionner le film: https://vimeo.com/showcase/10138037

Mot de passe: 1234

Office national du film du Canada | National Film Board of Canada
1501, de Bleury, Montréal Qc H3A 0H3
438-459-5843 | rvf@onf.ca

Voici également le MATÉRIEL PROMOTIONNEL:

 

 

 

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Postes Canada émet un nouveau timbre pour le Mois de l’histoire des Noirs au Canada

Un timbre du Mois de l’histoire des Noirs en hommage à Chloe Cooley

Bien qu’incapable d’échapper à son esclavage, Chloe Cooley a contribué par sa résistance à la mise en liberté des personnes asservies dans le Haut-Canada.

NIAGARA-ON-THE-LAKE, Ontario – Aujourd’hui, Postes Canada a dévoilé un nouveau timbre du Mois de l’histoire des Noirs en l’honneur de Chloe Cooley, qui a eu une grande incidence sur l’histoire de l’esclavage au Canada. Sa résistance le soir du 14 mars 1793 a contribué à l’adoption d’une loi qui allait mener à l’abolition graduelle de l’esclavage dans le Haut-Canada et offrir un refuge aux esclaves d’autres pays.

Chloe Cooley était une jeune femme noire asservie comme domestique à Queenston, dans le Haut-Canada, à la fin du XVIIIe siècle. Bien que l’esclavage dans le Haut-Canada gagnait en popularité à l’époque, l’attitude à l’égard de la pratique changeait et le mouvement abolitionniste prenait de l’ampleur.

Alors que commençaient à planer des rumeurs d’abolition, des maîtres craignaient de perdre ce qui était légalement considéré comme leur propriété. Le sergent Adam Vrooman, le maître de Chloe Cooley, était de ce nombre.

Un soir frisquet de mars, Adam Vrooman a enlevé la jeune femme, l’a violemment ligotée et, avec l’aide de deux hommes, l’a traînée sur les rives de la rivière Niagara. Mais Chloe Cooley s’est débattue.

Elle avait la réputation de lutter courageusement contre son esclavage de toutes les manières possibles, notamment en quittant la propriété d’Adam Vrooman sans permission et en refusant d’accomplir certaines tâches. Alors, quand son maître l’a enlevée, elle s’est débattue et a crié à l’aide pour tenter de se libérer. Ses protestations bruyantes ont été entendues dans les environs.

Malgré sa résistance, Chloe Cooley a été maîtrisée et transportée de force par bateau de l’autre côté de la rivière, dans l’État de New York, où elle a été vendue.

Bien qu’on ignore ce qui est arrivé à la jeune femme après cette soirée, des témoins ont raconté l’événement au lieutenant-gouverneur John Graves Simcoe, un fervent abolitionniste. Ce dernier s’est servi de ces témoignages pour déposer un projet de loi.

Le 9 juillet 1793, la mesure législative qui est devenue la loi visant à restreindre l’esclavage dans le Haut-Canada a été adoptée.

Si Chloe Cooley n’en a pas profité, la loi a ouvert la voie à la liberté pour d’autres en menant à l’abolition graduelle de l’esclavage dans le Haut-Canada. Elle a également créé un refuge légal pour les personnes qui fuyaient l’esclavage dans d’autres pays et a aidé au moins 30 000 Américains noirs en quête de liberté à faire le périlleux voyage vers le Canada au cours des décennies qui ont suivi.

En 1833, l’esclavage a été aboli officiellement à l’échelle de l’Empire britannique, et les derniers esclaves du Haut-Canada ont finalement été libérés.

À propos du timbre

Le timbre consacré à Chloe Cooley a été conçu par Lime Design et est orné d’une illustration de Rick Jacobsen. En l’absence de photos de la jeune femme, les images ont été créées avec soin à la suite de consultations approfondies avec des experts en histoire locale et régionale, en histoire des Noirs et en mode d’époque, ainsi qu’à l’aide de cartes historiques, de peintures, d’illustrations et d’autres documents d’archives. Imprimée par Lowe-Martin, l’émission comprend un carnet de six timbres PermanentsMC au tarif du régime intérieur et un pli Premier Jour officiel oblitéré à Niagara-on-the-Lake, en Ontario, où se trouve Queenston.

La vignette et les articles de collection sont en vente sur postescanada.ca et dans les comptoirs postaux partout au pays.

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PIERRE SAINT-DENIS: Antiquaire, potier, gentilhomme

C’est un Pierre Saint-Denis souriant que l’on découvre à la couverture de la revue publicitaire Kerrisdale Insider (15 nov. 2022 – 15 févr. 2023) à Vancouver.

Provenant du West End de Montréal, il n’avait que neuf ans quand sa famille se réinstalle à Claremont, en Californie, à l’ouest de Los Angeles. Il y devient collectionneur de peluches et de bandes dessinées. À l’école, il apprend la poterie, la peinture et la fabrication de bijoux.

Vers la fin des années 1960, il arrive à Vancouver pour y suivre un apprentissage en céramique, puis retourne au Québec où il ouvre  un studio de poterie à Val-David, un village dans les Laurentides. Il retourne à Vancouver en 1980, travaillant d’abord dans l’aménagement paysager jusqu’à la construction de décors peints pour l’industrie cinématographique.

Pendant les années 1990, il travaille chez l’antiquaire Salmagundi dans le Gastown, ce qui le mène à la boutique Circle Craft de l’île Granville. Six ans plus tard, il s’installe dans le quartier de Kerrisdale. Il travaille d’abord pour le Classics Antiques & Fine Decor, puis l’achète en 2009 et le rebaptise Pierre’s Antiques.

Il est difficile de sortir les mains vides d’une visite dans ce magasin débordant de trésors, culturels comme artistiques. On y croise des habitués et aussi des jeunes gens, ainsi que des immigrants avides d’enrichir leur quotidien de l’apparat de la bourgeoisie anglaise des premières décennies de la Colombie-Britannique. Le passage des étrangers sur nos côtes y est aussi remarqué par des pièces de garde-robes et de salons hors de l’ordinaire. Ses vitrines de Noël remportent souvent les lauriers saisonniers de la Kerrisdale Business Association.

N’hésitez pas à lui rendre visite au 5685 West Boulevard, où il vous accueillera dans la langue de nos ancêtres avec un charme du vieux Québec.


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Récent numéro de « Voix de l’Ouest », notre revue trimestrielle

Cliquer pour lire le numéro d’oct.-nov.-déc. 2022.
Vous y trouverez les activités de la SHFCB; la reconnaissance de ses bénévoles Marc Parent et Yves Lapointe; un au revoir à l’actrice Huguette Lacourse; une mise à jour sur l’accès à la numérisation de 40 000 pages des revues des organismes francophones de la province; ainsi qu’un article sur la prospectrice minière et femme d’affaires Delina Noel.
Bonne lecture!
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La SHFCB au Festival des Voyageurs du Fort Langley

Le Festival des Voyageurs se tiendra au Fort Langley cette fin de semaine, les 21-22 janvier 2023. Ce samedi et dimanche, donc, le D.G. Maurice Guibord y donne trois ateliers par jour au nom et au profit de la SHFCB. Entre 20-60 personnes participent à chaque atelier et on s’y amuse beaucoup, tout en apprenant notre histoire. Ce sont des ateliers de gigue assise et de cuillères, mais on apprend aussi l’histoire de la ceinture fléchée, de la soirée canadienne, du terme « Canadien » qui précéda celui de « Canadien français » et aussi, donc, du logo des Canadiens de Montréal.
Venez nous dire bonjour!
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FESTIVAL VIVE LES VOYGEURS – FORT LANGLEY 2023

ENGLISH: Shake off the winter blues at Fort Langley National Historic Site’s annual Vive les Voyageurs Festival, January 21-22, 2023 from 10 a.m. to 5 p.m. Discover French-Canadian and Métis culture through interactive presentations and popular treats like maple taffy and poutine! Daily admission to Fort Langley National Historic Site is $8.50/adult, $7.00/senior, and FREE for youth 17 and under and annual pass holders. To learn more, please visit: https://www.pc.gc.ca/en/lhn-nhs/bc/langley/activ/calendrier-calendar.

FRENCH: Secouez le blues de l’hiver au festival annuel Vive les Voyageurs du lieu historique national du Fort-Langley, les 21 et 22 janvier 2023 de 10 h à 17 h. Découvrez la culture canadienne-française et métisse grâce à des présentations interactives et des délices populaires comme la tire d’érable et la poutine! L’admission quotidienne au lieu historique national du Fort-Langley est de 8,50 $/adulte, 7,00 $/aîné et GRATUITE pour les jeunes de 17 ans et moins et les détenteurs d’un laissez-passer annuel. Pour en savoir plus, veuillez visiter: https://www.pc.gc.ca/fr/lhn-nhs/bc/langley/activ/calendrier-calendar.

In addition, I have hyperlinked some social media posts to share on your channels:

 

 

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Nouvelle publication SFU sur l’histoire de l’éducation en français en CB

Treize chercheurs et chercheuses s’unissent pour dresser le portrait de la francophonie britanno-colombienne

09/12/22

Le jeudi 8 décembre 2022 a eu lieu à Vancouver, Colombie-Britannique, le lancement du livre La francophonie de la Colombie-Britannique : éducation, diversité, identités. Publié aux Presses de l’Université Laval, cet ouvrage regroupe le fruit des recherches de 13 chercheurs et chercheuses affiliés à six universités canadiennes, dont six provenant de l’Université Simon Fraser.

Ce livre offre un portrait unique sur la francophonie en Colombie-Britannique en s’intéressant à une variété d’enjeux tels les droits scolaires, les politiques éducatives, la formation en enseignement, l’inclusion et la diversité dans les écoles et dans les espaces franco-colombiens.

À la fois historique et récente, d’ici et d’ailleurs, la francophonie britanno-colombienne se distingue de manière importante de l’Acadie et de l’Ontario français, deux francophonies canadiennes en situation minoritaire bien connues. Geneviève Brisson, codirectrice de l’ouvrage, mentionne « que sa lecture permet la découverte d’une francophonie encore largement méconnue, mais qui est riche sur le plan linguistique grâce à la grande variété des origines des Britanno-Colombiens et Britanno-Colombiennes».

Les thématiques étudiées sont variées, mais l’éducation reste une préoccupation centrale. Elle est analysée sous diverses formes : l’accès à des écoles de langue française, l’enseignement-apprentissage du français, la formation des enseignants et enseignantes, ainsi que les enjeux liés à l’identité, à l’inclusion et au plurilinguisme.

Selon Rémi Léger, codirecteur de la publication et professeur au département de science politique à l’Université Simon Fraser, « les recherches présentées ici sont bien ancrées dans la province, mais elles s’inscrivent dans des débats plus larges puisqu’elles traitent de thèmes partagés par l’ensemble des francophonies canadiennes et même internationales ».

Ce projet de livre découle du Symposium sur la francophonie en Colombie-Britannique organisé dans le cadre du 15e anniversaire du Bureau des affaires francophones et francophiles (BAFF) de l’Université Simon Fraser où une trentaine de chercheurs et chercheuses ainsi que plusieurs acteurs et actrices de la francophonie étaient réuni·e·s pour discuter de la situation du français dans la province. Originaire du Nouveau-Brunswick et arrivé à Vancouver en 2018, Gino LeBlanc, directeur du BAFF a rapidement identifié le besoin d’avoir un ouvrage portant spécifiquement sur la francophonie britanno-colombienne. Il mentionne « il me semblait indispensable de profiter du Symposium et du 15e anniversaire du BAFF pour lancer l’appel à la collaboration pour la création de cet ouvrage unique ». Il ajoute que « c’est un honneur de constater aujourd’hui la concrétisation de ce rêve et de voir l’engouement de la communauté ».

À PROPOS DU LIVRE

Le livre La francophonie de la Colombie-Britannique: éducation, diversité, identités, publié par les Presses de l’Université Laval sous la collection Perspectives de l’Ouest, est dès aujourd’hui disponible en version papier et numérique.

Les lecteurs et lectrices auront l’occasion de découvrir la francophonie britanno-colombienne dans les neuf chapitres suivants:

Tour d’horizon de la recherche sur la francophonie de la Colombie-Britannique – Rémi Léger, Université Simon Fraser et Geneviève Brisson, Université de Sherbrooke;

Chapitre 1 : Écoles et communautés francophones en Colombie-Britannique : de l’époque coloniale au Conseil scolaire francophone – Nicolas Kenny, Université Simon Fraser;

Chapitre 2 : L’équivalence réelle en matière d’éducation pour les Franco-Colombiens : une lutte sans fin ? – Emmanuelle Richez, Université de Windsor;

Chapitre 3 : Plurilinguisme et construction identitaire à l’école francophone en Colombie-Britannique – Trâm Lai-Tran, Université Simon Fraser;

Chapitre 4 : Discours de race dans une école francophone en Colombie-Britannique – Sara Schroeter, Université de Régina;

Chapitre 5 : L’intégration des immigrants et des réfugiés d’expression française dans le Grand Vancouver : la nécessité de bâtir des espaces inclusifs – Suzanne Huot, Université de la Colombie-Britannique, Anne-Cécile Delaisse, Université de la Colombie-Britannique, Luisa Veronis, Université d’Ottawa, Aude-Claire Fourot, Université Simon Fraser;

Chapitre 6 : L’enseignement-apprentissage en français langue seconde face aux nouvelles orientations de politique éducative en Colombie-Britannique – Cécile Sabatier Bullock, Université Simon Fraser et Rémi Léger, Université Simon Fraser;

Chapitre 7 : L’intégration des perspectives autochtones : principaux défis pour les enseignants allochtones en immersion française – Isabelle Côté, Université Simon Fraser;

Chapitre 8 : « M’améliorer, c’est pour le reste de ma vie » : vers une culture professionnelle dans la formation à l’enseignement du français – Meike Wernicke, Université de la Colombie-Britannique.

POUR ACHETER LE LIVRE

Le Bureau des affaires francophones et francophiles est une entité administrative de l’Université Simon Fraser qui a pour mission de coordonner, promouvoir et soutenir le développement de programmes et cours offerts en langue française à l’Université Simon Fraser. Le BAFF organise également des activités scientifiques et culturelles auprès de la communauté pour stimuler le rayonnement d’une francophonie plurielle et inclusive.

Sur la photo en entête étaient présent·e·s (de gauche à droite):

Rangée du haut : Nicolas Kenny (Simon Fraser University), Gino LeBlanc (Simon Fraser University), Geneviève Brisson (Université de Sherbrooke)
Rangée du milieu: Suzanne Huot (University of British Columbia), Isabelle Côté (Simon Fraser University), Meike Wenicke (University of British Columbia), Trâm Lai-Tran, Simon Fraser University), Aude-Claire Fourot (Simon Fraser University)
Rangée du bas : Anne-Cécile Delaisse (University of British Columbia), Rémi Léger (Simon Fraser University), Françoise Thibault (artite de la page couverture)

Anne Marie Gagné
Coordonnatrice communication, marketing et recrutement
Bureau des affaires francophones et francophiles (BAFF)
baff_comm@sfu.ca
778-782-7645

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